mercredi 22 février 2012

A Segré, Le changement, c'est maintenant avec François Hollande

Section du Parti socialiste de Segré - Maine-et-Loire

Les 22 avril et 6 mai prochain, les électeurs sont invités à voter pour désigner le président qui gouvernera la France pour les cinq prochaines années. Les citoyens auront cette lourde responsabilité de choisir le successeur du président sortant.
Sans revenir sur le bilan de celui-ci (déficit commercial et budgétaire record, endettement record, faible croissance, crise économique, suppression de postes dans l'Education nationale, recul de l'âge de la retraite...), il convient toutefois de rappeler les conséquences de la politique qu'il a menée pour le Segréen : non remplacement d'enseignants dans les écoles, suppressions de postes dans les écoles du Segréen, suppression du Tribunal de Segré, faiblesse des salaires dans les entreprises, suppression des aides de l'Etat et de la DDT aux communes rurales.
Changer de politique avec François Hollande, c'est refuser la poursuite cinq ans de plus d'une politique qui dégrade la France, les services publics, l'éducation et l'économie française et qui privilégie les plus riches.
Changer de politique avec François Hollande, c'est surtout opérer des choix clairs en faveur de l'agriculture, de l'éducation, du soutien aux entreprises innovantes, d'une politique juste. C'est donner les conditions pour le retour de la croissance, de l'emploi. Permettre de recréer des richesses pour pouvoir les partager.
Dès le 22 avril, le choix est clair, c'est celui de François Hollande.
Dans le Segréen, votez et faites voter François Hollande.

Emmanuel Drouin

mercredi 15 février 2012

Agriculture : Le Changement, c’est Maintenant !

Section du Parti socialiste de Segré - Maine-et-Loire

L'agriculture est une question qui concerne tous les citoyens. François Hollande

Si l’agriculture a perdu en un demi-siècle plus de 80 % de sa population active, elle n’en reste pas moins un secteur stratégique, et ce pour de nombreuses raisons.

Tout d’abord et il est utile de le rappeler, la vocation première de l’agriculture est de nourrir les hommes. Sans agriculture, pas d’alimentation. Ce seul rappel devrait inciter chacun, et les décideurs en premier, à y attacher une importance toute particulière.

En outre, avec plus de 3 millions d’emplois directs et induits, un excédent commercial de plus de 10 milliards d’euros, l’agriculture et l’industrie agroalimentaire, constituent un véritable poumon pour notre économie.

Enfin, nos agriculteurs ne sont pas seulement des producteurs de denrées alimentaires, ils contribuent, à l’animation et la cohésion sociale de nos territoires, à l’équilibre des paysages. Ils ont un rôle important à jouer dans la protection de l’environnement et la lutte contre le réchauffement climatique.


François Hollande conscient de ces enjeux, a tracé les contours de ce que sera sa politique agricole si les français lui en donnent mandat.

  • Défense d’un budget agricole européen ambitieux au service de l’agriculture dans sa diversité, en particulier l’élevage.
    • La spécificité de l’agriculture française réside à la fois dans son importance par rapport aux autres pays d’Europe, mais aussi et avant tout dans sa diversité. Cette diversité est garante à la fois du dynamisme du secteur, mais constitue aussi un atout majeur dans l’approche environnementale. Elle doit être une priorité de la politique agricole européenne.
  • Promotion de nouveaux modèles de de production et de l’agriculture biologique.
    • L’agriculture doit tenir compte des contraintes environnementales nouvelles, sans pour autant hypothéquer sa productivité. De nouveaux modèles sont en train de voir le jour, de nouvelles attentes des consommateurs se font entendre. Il faudra accompagner ces mutations.
  • Rééquilibrage des rapports de force au sein des filières.
    • Les agriculteurs subissent des prix imposés, résultats des rapports d’échange entre le producteur et le transformateur et/ou le distributeur.. Un agriculteur sur quatre est en situation de pauvreté monétaire. Nous leur donnerons les moyens de s’organiser collectivement pour rééquilibrer ces rapports de force.
  • Garantie de services publics locaux dans le monde rural.
    • Nicolas Sarkozy a anéanti les services publics en milieu rural, et les agriculteurs sont les premières victimes de cette politique de la « terre brûlée ». Nous devrons garantir l’accès de tous aux services publics.
Argumentaire rédigé par Jean-Louis Belliard & Jean-Marie Dessevre
Référents agriculture et ruralité - fédération de Maine-et-Loire