vendredi 8 avril 2011

L'ancien président de l'UMP reçu en grande pompe par Gilles Grimaud, maire de Segré

Section du Parti socialiste de Segré - Maine-et-Loire
Le Parti socialiste de Segré s'interroge sur les motivations qui ont conduit le maire de Segré Gilles Grimaud, qui se dit sans éiquette, à recevoir en grande pompe l'ancien président de l'UMP Xavier Bertrand, en compagnie du président de l'UMP 49, Marc Laffineur. Gilles Grimaud, pourtant se dit sans étiquette, voire apolitique, mais reçoit les représentants de la droite et s'en félicite. M. Grimaud serait-il de droite finalement.
Xavier Bertrand, n'est pas le moins à droite des membres de l'UMP puisqu'entre les 2 tours des élections cantonales, il a confirmé qu'il ne choisirait pas entre la gauche et le Front national en cas de duel gauche-extrême droite. C'est le ministre de la Santé et du Travail qui poursuit le "travail" de casse du droit du travail et de la santé publique, malgré ses annonces pour l'hôpital de Segré lors de l'inauguration de la foire expo.
M. Grimaud cautionne-t-il cette droite de moins en moins républicaine, qui flirte de plus en plus avec le Front national ?

vendredi 1 avril 2011

Visite de l'ex président de l'UMP Xavier Bertrand à Segré

Communiqué de presse : Visite de l'ex président de l'UMP Xavier Bertrand à Segré
Les grands hommes se reconnaissent aux choix qu'ils ont fait dans des moments importants de l'histoire de France. En 2002, l'ensemble de la gauche a pris ses responsabilités en appelant à voter pour Jacques Chirac pour faire barrage à l'extrême droite. La semaine dernière, Xavier Bertrand, l'ex-président de l'UMP, a fait le choix de ne pas choisir entre la gauche et le Front national.
Le Parti socialiste de Segré s'étonne que la mairie de Segré se réjouisse de la réception de M. Bertrand samedi 2 avril à Segré. Face à la crise économique, sociale et morale que nous vivons, Segré et le Segréen ont besoin de se rassembler autour des valeurs républicaines. Dans ce contexte, la réception de M. Bertrand à Segré apparaît comme le signe d'un repli frileux sur une droite de moins en moins républicaine, qui flirte de plus en plus avec le Front national.